Chronique
DGM - MISPLACED / SCARLET 2004
Ce groupe italien nous sort là un nouvel opus, à peine un an après l’excellent ‘hidden place’.Cette formation progressive qui n’en est pas à son premier essai (c’est leur 6eme album) tente de s’imposer avec de forts arguments.
Donc voici ‘misplaced’ qui commence par l’énergique « living on the edge ». Le groupe a accentué un coté power métal au détriment de leur coté progressif, ce qui n’est pas désagréable car les combats guitare - synthé sont toujours présents et très jouissifs.La speed « is hell without love » nous prend à la gorge, le chant de Titta Tani est plus agressif, tout comme la guitare de Diego Reali. Ce titre arrache tout sur son passage.
« Through my tears » calme le jeu avec un morceau heavy prog bien sympathique sur lequel les qualités vocales de Titta se dévoilent pour notre plus grand plaisir (quel bel organe!).« Still believe » débute doucement avec juste un piano et une voix, dans une douceur ultime, puis le refrain vient dans une beauté.. Arghh !! Avant que la tempête ne reprenne, un très grand titre qui m’a fait penser par moment à du Queen : oh la la le refrain, et cette fin tonitruante sur laquelle Diego s’en donne à coeur joie.Aller « pride » speed comme jamais, dans un style proche d’un Angra. Ce titre envoi des pieds ; ce groupe est énorme, les solos de Diego sont d’une fluidité monstre : quel génie.« Amazing journey » part sur des synthés bizarres, et continue dans un heavy speed prog de toute beauté agrémenté par quelques chœurs. Titta excelle dans son art à la fois hargneux comme un Russel Allen puis mélodique comme un James Labrie. Ce type est époustouflant, la partie centrale technique est splendide. Fabio Sanges se régale avec son synthé.
« A new days comming » est un titre dans la pur tradition DGM : un heavy mélodique bien sympa, qui poursuit notre quête
« Pereminal quest » est le dernier titre (sniff) mais le groupe ne veut pas nous laisser sur une touche triste et nous sort un speed de chez speed. Quelle pêche monstre ce morceau, un grand moment qui ne s’arrête jamais.
Conclusion un très bon opus qui nous montre de nouvelles qualités de ce combo qui est fort intéressant. Une formation qui est devenue mon coup de cœur prog, digne futur grand de cette scène qui ne demande qu’a être découverte.
Donc voici ‘misplaced’ qui commence par l’énergique « living on the edge ». Le groupe a accentué un coté power métal au détriment de leur coté progressif, ce qui n’est pas désagréable car les combats guitare - synthé sont toujours présents et très jouissifs.La speed « is hell without love » nous prend à la gorge, le chant de Titta Tani est plus agressif, tout comme la guitare de Diego Reali. Ce titre arrache tout sur son passage.
« Through my tears » calme le jeu avec un morceau heavy prog bien sympathique sur lequel les qualités vocales de Titta se dévoilent pour notre plus grand plaisir (quel bel organe!).« Still believe » débute doucement avec juste un piano et une voix, dans une douceur ultime, puis le refrain vient dans une beauté.. Arghh !! Avant que la tempête ne reprenne, un très grand titre qui m’a fait penser par moment à du Queen : oh la la le refrain, et cette fin tonitruante sur laquelle Diego s’en donne à coeur joie.Aller « pride » speed comme jamais, dans un style proche d’un Angra. Ce titre envoi des pieds ; ce groupe est énorme, les solos de Diego sont d’une fluidité monstre : quel génie.« Amazing journey » part sur des synthés bizarres, et continue dans un heavy speed prog de toute beauté agrémenté par quelques chœurs. Titta excelle dans son art à la fois hargneux comme un Russel Allen puis mélodique comme un James Labrie. Ce type est époustouflant, la partie centrale technique est splendide. Fabio Sanges se régale avec son synthé.
« A new days comming » est un titre dans la pur tradition DGM : un heavy mélodique bien sympa, qui poursuit notre quête
« Pereminal quest » est le dernier titre (sniff) mais le groupe ne veut pas nous laisser sur une touche triste et nous sort un speed de chez speed. Quelle pêche monstre ce morceau, un grand moment qui ne s’arrête jamais.
Conclusion un très bon opus qui nous montre de nouvelles qualités de ce combo qui est fort intéressant. Une formation qui est devenue mon coup de cœur prog, digne futur grand de cette scène qui ne demande qu’a être découverte.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : Site officiel de DGM
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