Chronique
KATANA - HEADS WILL ROLL / Listenable Records 2011
Quand le pays du soleil levant s’invite dans un pays nordique, ici la Suède, cela donne après union consentante : KATANA. Mais surprise, le groupe ne s’inspire ni de la musique japonaise, ni de la musique suédoise. Bizarrement, c’est un retour aux sources du heavy metal des années 80 avec pour grand maitre : Iron Maiden, Judas Priest ou encore Accept. Que la musique soit !
L’album débute avec « Livin’ without fear » qui donne le temps immédiatement. Ca fuse, la voix de Johan est bien haute et claire, le tout dans une ambiance endiablée et porteuse faisant un peu penser à du Stryper. On sent bien l’influence de Maiden sur les riffs mais sans pour autant pomper. S’en suit « Blade of Katana » qui débute avec une ligne de chant presque parlée. Surprenant à la première écoute mais qui au fur et à mesure fait mouche. Une grosse baffe nous percute sur le refrain simple mais des plus efficaces qui va envoyer en live ! Pour « Phoenix on fire », l’intro se voit plus posée mais aussi plus brutale. Un titre de hard heavy avec des chœurs sur le couplet histoire d’agrémenter le tout. Sur le refrain, une ambiance rock mélodique se met en place, ce qui a un bel effet niveau effet.
On continue dans cette veine percutante avec « Neverending world ». Du gros heavy traditionnel, direct et prenant avec ce petit plus de fraîcheur donné au niveau de la production. Intro à batterie avant de débouler sur un solo guitare et un Johan enragé sur « Heart of Tokyo ». Un titre qui fait une nouvelle fois mouche avec un refrain simple mais efficace.
Ambiance un peu plus sombre et lente pour « Asia in sight ». Un mid tempo qui donne une nouvelle vision musicale du combo, tout en gardant ce chant clair et haut perché en opposition à la musique. « Across the stars » nous ramène dans du heavy metal pur porc : un bon riff, une batterie percutée avant de nous projeter dans un titre rapide et prenant. Son sourd pour la guitare au début de « Rebel ride ». Une ambiance de révolte, avec laquelle on imagine notre rider parcourant les plaines/les routes avec fierté et sérieux ! « Quest for Hades » conclut cet album. Un titre un peu différent des autres de par sa longueur tout d’abord (7minutes), et aussi de part sa structure : une intro douce avec un Johan dominant, nous plongeant presque dans les ténèbres jusqu’au moment où tous s’énervent et nous plongent dans un monde de haine et de violence alimentés par les riffs.
Conclusion : un premier album des plus percutant, où 39 minutes de heavy metal passent à une telle vitesse qu’on à l’impression qu’il n’en fait que 20. Quelle surprise !
L’album débute avec « Livin’ without fear » qui donne le temps immédiatement. Ca fuse, la voix de Johan est bien haute et claire, le tout dans une ambiance endiablée et porteuse faisant un peu penser à du Stryper. On sent bien l’influence de Maiden sur les riffs mais sans pour autant pomper. S’en suit « Blade of Katana » qui débute avec une ligne de chant presque parlée. Surprenant à la première écoute mais qui au fur et à mesure fait mouche. Une grosse baffe nous percute sur le refrain simple mais des plus efficaces qui va envoyer en live ! Pour « Phoenix on fire », l’intro se voit plus posée mais aussi plus brutale. Un titre de hard heavy avec des chœurs sur le couplet histoire d’agrémenter le tout. Sur le refrain, une ambiance rock mélodique se met en place, ce qui a un bel effet niveau effet.
On continue dans cette veine percutante avec « Neverending world ». Du gros heavy traditionnel, direct et prenant avec ce petit plus de fraîcheur donné au niveau de la production. Intro à batterie avant de débouler sur un solo guitare et un Johan enragé sur « Heart of Tokyo ». Un titre qui fait une nouvelle fois mouche avec un refrain simple mais efficace.
Ambiance un peu plus sombre et lente pour « Asia in sight ». Un mid tempo qui donne une nouvelle vision musicale du combo, tout en gardant ce chant clair et haut perché en opposition à la musique. « Across the stars » nous ramène dans du heavy metal pur porc : un bon riff, une batterie percutée avant de nous projeter dans un titre rapide et prenant. Son sourd pour la guitare au début de « Rebel ride ». Une ambiance de révolte, avec laquelle on imagine notre rider parcourant les plaines/les routes avec fierté et sérieux ! « Quest for Hades » conclut cet album. Un titre un peu différent des autres de par sa longueur tout d’abord (7minutes), et aussi de part sa structure : une intro douce avec un Johan dominant, nous plongeant presque dans les ténèbres jusqu’au moment où tous s’énervent et nous plongent dans un monde de haine et de violence alimentés par les riffs.
Conclusion : un premier album des plus percutant, où 39 minutes de heavy metal passent à une telle vitesse qu’on à l’impression qu’il n’en fait que 20. Quelle surprise !
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Myspace de Katana
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