Chronique
TRIVIUM - VENGEANCE FALL / Roadrunner 2013
C'est toujours avec beaucoup de plaisir que j'accueille un nouvel opus de Trivium, qui au fil des années s'est rajouté à la liste des très grandes références de notre bon vieux Trash métal. Après un In Waves moderne et décapant voyons un peu de quel bois se chauffent nos petit gars.
On entre dans le vif du sujet avec « Brave this storm » qui permet de retrouver un Trivium plus mélodique (surtout niveau chant) mais toujours aussi venimeux. Par contre première constatation c'est l'importance de David Draiman (chanteur de Disturbed) au niveau de la production, mettant beaucoup de son groupe dans celui ci. La title track débarque et nous donne du pur et dur Trivium comme on l'aime. Il est bon de réentendre Matt Heafy chanter plutôt que beugler. Bref un petit single fort convainquant.
On accélère le rythme sur « Strife », qui là encore sonne très Disturbed (c'est surtout flagrant au niveau du chant !!), ce qui est étrange de la part d'un groupe qui a toujours réussi à être personnel. On retrouve du Trash décapant avec « No way to heal » qui là est du pur produit de nos Floridiens !! Pas d'hésitation possible !!
« To believe » poursuit notre album avec un bon morceau, même si on peut noter qu'il manque un petit quelque chose de plus original. Le début calme nous intronisant « At the end of this war » n'est qu'un leurre car la suite déboite ça mémé en short hawaïen !! Et malgré la qualité évidente de ce titre on constate toujours la même chose, la perte de personnalité et surtout un petit manque d'inspiration !
Deuxième single potentiel avec l'efficace « Through blood and dirt and bone ». Simple mais elle fait très bien le boulot et c'est déjà ça ! On continue dans la même veine avec « Villainy thrives » un mix parfait entre Trivium et Disturdeb. Toujours aussi sympa mais toujours aussi perturbant !
« Incineration the broken world » semble sortir du même moule que le reste. Un titre de plus pourrait on dire, qui malheureusement ne fait pas que du bien à cet opus qui tourne en rond. A noter un joli solo de basse de la part de Paolo Gregoletto.
On termine avec « Wake (The end is nigh) » au début calme et posé qui nous berce avant que l'armada ne se réveille et te file une gifle !! Du très, très bon qui clôt comme il faut cet opus !!
Conclusion : Pour son nouvel opus, Trivium se sera un peu fourvoyé. Une trop grande importance (implication) du producteur ajouté à un manque d'inspiration font de ce 6 ème opus un petit moins bien notable mais pas si horrible que ça. Ça arrive, le tout est que cela ne dure pas.
On entre dans le vif du sujet avec « Brave this storm » qui permet de retrouver un Trivium plus mélodique (surtout niveau chant) mais toujours aussi venimeux. Par contre première constatation c'est l'importance de David Draiman (chanteur de Disturbed) au niveau de la production, mettant beaucoup de son groupe dans celui ci. La title track débarque et nous donne du pur et dur Trivium comme on l'aime. Il est bon de réentendre Matt Heafy chanter plutôt que beugler. Bref un petit single fort convainquant.
On accélère le rythme sur « Strife », qui là encore sonne très Disturbed (c'est surtout flagrant au niveau du chant !!), ce qui est étrange de la part d'un groupe qui a toujours réussi à être personnel. On retrouve du Trash décapant avec « No way to heal » qui là est du pur produit de nos Floridiens !! Pas d'hésitation possible !!
« To believe » poursuit notre album avec un bon morceau, même si on peut noter qu'il manque un petit quelque chose de plus original. Le début calme nous intronisant « At the end of this war » n'est qu'un leurre car la suite déboite ça mémé en short hawaïen !! Et malgré la qualité évidente de ce titre on constate toujours la même chose, la perte de personnalité et surtout un petit manque d'inspiration !
Deuxième single potentiel avec l'efficace « Through blood and dirt and bone ». Simple mais elle fait très bien le boulot et c'est déjà ça ! On continue dans la même veine avec « Villainy thrives » un mix parfait entre Trivium et Disturdeb. Toujours aussi sympa mais toujours aussi perturbant !
« Incineration the broken world » semble sortir du même moule que le reste. Un titre de plus pourrait on dire, qui malheureusement ne fait pas que du bien à cet opus qui tourne en rond. A noter un joli solo de basse de la part de Paolo Gregoletto.
On termine avec « Wake (The end is nigh) » au début calme et posé qui nous berce avant que l'armada ne se réveille et te file une gifle !! Du très, très bon qui clôt comme il faut cet opus !!
Conclusion : Pour son nouvel opus, Trivium se sera un peu fourvoyé. Une trop grande importance (implication) du producteur ajouté à un manque d'inspiration font de ce 6 ème opus un petit moins bien notable mais pas si horrible que ça. Ça arrive, le tout est que cela ne dure pas.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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