Chronique
MYLIDIAN - SEVEN LORDS / Replica promotion 2013
Faites place à Mylidian et son métal opéra !! En cette fin d'année, le projet d'Armendar (Ex Phoenix) débarque en grande pompe avec son deuxième volet qui a de sérieux arguments. Un album à l'ambition débordante, reste plus qu'à confirmer.
Une intro « The seven lord oponing » symphonique et sympathique nous ouvre ce métal opéra avant que ne débarque « Salvation by blade » dans une veine de heavy trash symphonique, bien cool. Par contre dommage d'avoir choisi un chant hurlé, qui plus est pas des meilleurs, pour nous compter cette histoire, car c'est bel et bien le point faible du groupe. Musicalement le métal sombre proposé ici est très bon.
« The mentor » arrive et accélère le rythme cardiaque, pour à nouveau un résultat fort convaincant. Les différents intervenants permettent de varier les plaisirs et nous font profiter que plus de cet opus. C'est dans le calme que « Via Sanguinius » nous arrive, avant de se transformer en un lourd mid tempo très dark. Une ballade mélancolique et dépressive à souhait qui colle à merveille au sujet. Après ce drame débarque « Cyberduel » bien plus rentre dedans et vivant. On sent bien la volonté de notre maître d’œuvre de vouloir nous faire voyager au grès de ses compos dans son histoire tortueuse. Par contre il est vrai que le coté complexe et dira t-on similaire des chansons rendent l'écoute compliqué, la preuve « Opus dei » qui pousse le bouchon encore plus loin, alors qu'on est pas remis de la précédente.
On respire un peu le temps d'amorcer « Roe march ». Un mid tempo plus 'rock' et basique qui dénote totalement du reste de l'album. Plutôt étrange et pas totalement convaincant. Place à la deuxième ballade avec « Story of the ghost », portée par un chant féminin (mais quel accent Français c'est fou quand même!!), qui perso ne me bouleverse pas des masses.
Par contre « Hell's hunter » elle ne fait pas dans la dentelle et nous offre un titre puissant avec un duo la belle et la bête, avec des arrangements toujours nickel.
On termine avec « The seven lord » titre épique qui laisse le champ libre à notre artiste pour voguer où bon lui semble et en rajouter encore et toujours.
Conclusion : Avec ce deuxième volet Armendar prouve qu'il veut se démarquer et force est de reconnaître que c'est bien le cas. Dommage que l'ensemble soit dur à digérer et que le chant manque de précision. Une œuvre pas éphémère qui a de quoi intéresser du monde
Une intro « The seven lord oponing » symphonique et sympathique nous ouvre ce métal opéra avant que ne débarque « Salvation by blade » dans une veine de heavy trash symphonique, bien cool. Par contre dommage d'avoir choisi un chant hurlé, qui plus est pas des meilleurs, pour nous compter cette histoire, car c'est bel et bien le point faible du groupe. Musicalement le métal sombre proposé ici est très bon.
« The mentor » arrive et accélère le rythme cardiaque, pour à nouveau un résultat fort convaincant. Les différents intervenants permettent de varier les plaisirs et nous font profiter que plus de cet opus. C'est dans le calme que « Via Sanguinius » nous arrive, avant de se transformer en un lourd mid tempo très dark. Une ballade mélancolique et dépressive à souhait qui colle à merveille au sujet. Après ce drame débarque « Cyberduel » bien plus rentre dedans et vivant. On sent bien la volonté de notre maître d’œuvre de vouloir nous faire voyager au grès de ses compos dans son histoire tortueuse. Par contre il est vrai que le coté complexe et dira t-on similaire des chansons rendent l'écoute compliqué, la preuve « Opus dei » qui pousse le bouchon encore plus loin, alors qu'on est pas remis de la précédente.
On respire un peu le temps d'amorcer « Roe march ». Un mid tempo plus 'rock' et basique qui dénote totalement du reste de l'album. Plutôt étrange et pas totalement convaincant. Place à la deuxième ballade avec « Story of the ghost », portée par un chant féminin (mais quel accent Français c'est fou quand même!!), qui perso ne me bouleverse pas des masses.
Par contre « Hell's hunter » elle ne fait pas dans la dentelle et nous offre un titre puissant avec un duo la belle et la bête, avec des arrangements toujours nickel.
On termine avec « The seven lord » titre épique qui laisse le champ libre à notre artiste pour voguer où bon lui semble et en rajouter encore et toujours.
Conclusion : Avec ce deuxième volet Armendar prouve qu'il veut se démarquer et force est de reconnaître que c'est bien le cas. Dommage que l'ensemble soit dur à digérer et que le chant manque de précision. Une œuvre pas éphémère qui a de quoi intéresser du monde
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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