Chronique
ROGASH - SUPREMACY UNDONE / War anthem records 2014
Voici la première sortie de nos Allemands qui après s’être formés en 2009 et sorti un Ep passent aux choses sérieuses. Allons à la découverte du Troll.
Après une courte intro qui nous met dans l'ambiance débarque « Desolate » et son riff trash. Puis la voix gutturale du chanteur nous prend à la gorge. Le groupe développe un Death Trash simple mais plaisant. « Less emotion » ne fait pas dans la dentelle et délivre du vrai Death métal viril. J'avoue que malgré les années qui passent ce style n'est toujours pas mon truc, mais alors pas du tout. « Forsaken » part de manière tout aussi délicate et déboussole son auditeur à grand coup de blast rageur. Pas de changement avec « Constant calamity » qui se veut tout de même plus varié avec quelques accalmies bien senties.
On alourdit le propos avec « I Voracity » du Death lourd et guttural à souhait, pour les poètes en herbe. La suite s'accélère (comme d'hab quoi) et permet de ne pas se sentir perdu quand arrive « Spearheaded ». Oui le groupe ne nous ment pas sur la marchandise en nous proposant du brut de chez brut. Nouvelle preuve avec « Soulrust » (ah bon on a changé de chanson!?), qui, et bien comment dire, ne change pas beaucoup la donne, à part un refrain presque mélodique (ouf on est sauvé).
Allez courage puisque la ballade « Bloodgates rising » nous arrive tel un nuage de lait sur du chocolat onctueux. Pardon j'ai décroché ça c'est la pub pour Kinder. Merde !! Ah et bien non pas de changement, toujours cette délicate petite musique de chambre à endormir un bébé (ou le tuer). Ah !! Enfin !! « Guttung mensh » la chanson en Allemand, permet de changer un peu, trop d'Anglais tue l'Anglais.
« Apprehension edge » nous délivre un mid tempo lourd et malsain qui file le frisson. Ça et une photo de Suzanne Boyle et vous faite dans votre froc ! « Kingdom of grief » (et il y en a) remet le blast à l'honneur (ouf on a failli oublier) et permet à nos petits tympans d’être cajolés à nouveau.
« Rogan abomination » enfonce le clou rouillé et tranchant jusqu'à la moelle, permettant ainsi à nous pauvres auditeurs de finir lobotomisés
On finit (Oh non je commençais à m'y faire) avec « Asunder » une outro, qui, enfin, comment dire, oh j'en sais rien...
Conclusion : Si vous aimez le death métal alors c'est bon écoutez, si non passez votre chemin !
Après une courte intro qui nous met dans l'ambiance débarque « Desolate » et son riff trash. Puis la voix gutturale du chanteur nous prend à la gorge. Le groupe développe un Death Trash simple mais plaisant. « Less emotion » ne fait pas dans la dentelle et délivre du vrai Death métal viril. J'avoue que malgré les années qui passent ce style n'est toujours pas mon truc, mais alors pas du tout. « Forsaken » part de manière tout aussi délicate et déboussole son auditeur à grand coup de blast rageur. Pas de changement avec « Constant calamity » qui se veut tout de même plus varié avec quelques accalmies bien senties.
On alourdit le propos avec « I Voracity » du Death lourd et guttural à souhait, pour les poètes en herbe. La suite s'accélère (comme d'hab quoi) et permet de ne pas se sentir perdu quand arrive « Spearheaded ». Oui le groupe ne nous ment pas sur la marchandise en nous proposant du brut de chez brut. Nouvelle preuve avec « Soulrust » (ah bon on a changé de chanson!?), qui, et bien comment dire, ne change pas beaucoup la donne, à part un refrain presque mélodique (ouf on est sauvé).
Allez courage puisque la ballade « Bloodgates rising » nous arrive tel un nuage de lait sur du chocolat onctueux. Pardon j'ai décroché ça c'est la pub pour Kinder. Merde !! Ah et bien non pas de changement, toujours cette délicate petite musique de chambre à endormir un bébé (ou le tuer). Ah !! Enfin !! « Guttung mensh » la chanson en Allemand, permet de changer un peu, trop d'Anglais tue l'Anglais.
« Apprehension edge » nous délivre un mid tempo lourd et malsain qui file le frisson. Ça et une photo de Suzanne Boyle et vous faite dans votre froc ! « Kingdom of grief » (et il y en a) remet le blast à l'honneur (ouf on a failli oublier) et permet à nos petits tympans d’être cajolés à nouveau.
« Rogan abomination » enfonce le clou rouillé et tranchant jusqu'à la moelle, permettant ainsi à nous pauvres auditeurs de finir lobotomisés
On finit (Oh non je commençais à m'y faire) avec « Asunder » une outro, qui, enfin, comment dire, oh j'en sais rien...
Conclusion : Si vous aimez le death métal alors c'est bon écoutez, si non passez votre chemin !
Critique : Guillaume
Note : 3/10
Vues : 5702 fois