Chronique
METALIUM - DEMONS OF INSANITY CHAPTER 5 / ARMAGGEDON MUSIC 2005
1 ans à peine après le très bof ‘As one chapter 4’ re voici la bande à Lars Ratz pour leur 5eme chapitre et c’est avec beaucoup d’appréhension que je vais le découvrir.
L’habituelle intro ouvre cette nouvelle aventure toujours aussi peu digne d’intérêt. Elle nous permet de nous préparer à « Power of time ». Un titre speed qui arrache, Henning retrouve ses aigus tant appréciable dans une entrée puissante. Pour une fois le refrain ne ressemble pas aux autres, même si Henning va toujours se perdre dans des hauteurs pharamineuses (mais c’est bien pour ça qu’on l’adore non ?). Un très bon début à confirmer.
La titre track prend place avec un gros riff pour un titre plus heavy et bien bon. Le refrain est bien trouvé, appuyé par des chœurs guerriers pour cette chanson qui poursuit dans le bon sens ce nouveau chapitre. Auraient ils compris leurs erreurs passées ?
« Cyber horizon » commence sur une impressionnante démonstration vocale puis se calme pour le couplet, avant de repartir à l’attaque pour un refrain sympa. Encore un bon titre suivit de « Ride on » bien rentre dedans avec sa grosse intro façon marteau de Thor. Un mid tempo heavy qui fait du bien : mélodique et guerrier comme un bon Manowar. Michael Ehre se gave à la batterie avec sa double pour mon plus grand plaisir. « Endless beliver » et la commence les points négatifs. Un titre plutôt mid tempo mais pas très accrocheur, malheureusement le passage avec les chœurs géorgiens est moins cool. Bon passons !
« Sky is falling » attaque fort, la guitare de Matthias Lange doit fumer aux vues de l’intro puis se ralentie quelque peu pour se cantonner dans un mid speed sympa. Henning lui de son coté est impressionnant de vélocité se donnant toujours à fond.
Entrée pharaonique pour « Destiny ». Un nouveau mid tempo assez puissant bien porté par les talents de Henning. Le refrain bien appuyé par les gros chœurs rend bien, un titre sympatoche. Mais bon il faut avouer que l’intérêt commence à retomber. Est-ce que « Mother earth » (décidément partout) va remonter tout ça ? Ben ouais, bien puissante et quelque peu différente des inspirations speed habituelle ,elle se démarque pas mal du reste. Le refrain chanté sur les gros chœurs guerriers rend l’ensemble bien couillu.
« Out of the silence » reprend le bon vieux speed qui fait du bien, elle te décape les cervicales et les conduits auditifs : ah ça fait plaisir !
Aller on continue avec « Atrocity », un autre bon titre qui décape et qui te donne envie de te casser le cou, la musique à fond tellement que c’est bon : entraînante et puissante sûrement le meilleur titre du CD. Ah elle est enfin là la ballade oubliée lors du précédant opus. Elle est de retour pour la 12eme plage. Intro au piano « Silence of the night » se fait dure et prenante, Henning excelle dans se genre d’exercice en étant touchant et sensible, portant son organe à des degrés ahurissant d’émotion. Une vrai ballade comme Metalium sait les faire. Même le solo de Matthias est superbe. Un véritable bonheur.
« Vision of paradise » c’est un peu ça enchaînant un titre speed après la somptueuse ballade cela nous permet de reprendre nos esprits dépressifs. Un titre qui sur scène va cartonner avec son refrain calibré. Et voici la fin avec « One by one » à l’intro orientale, qui est un mid tempo d’une lourdeur impressionnante. Une manière de conclure avec une puissance encore peu connue. Le refrain est énorme, Henning vous achève une dernière fois par sa maîtrise impériale. Voilà c’est fini reste plus qu’à faire les comptes.
Conclusion : certes meilleur que le ‘As one chapter 4’ (mais pouvaient ils faire pire ?) Ce ‘Demons of insanity chapter 5’ n’arrive toujours pas à la cheville d’un des 3 premiers chapitres : la faute à une durée trop longue et à des morceaux mitigés. Espérons qu’ils soit dans la bonne pente et nous ressortirons des albums dignes de leur rang.
L’habituelle intro ouvre cette nouvelle aventure toujours aussi peu digne d’intérêt. Elle nous permet de nous préparer à « Power of time ». Un titre speed qui arrache, Henning retrouve ses aigus tant appréciable dans une entrée puissante. Pour une fois le refrain ne ressemble pas aux autres, même si Henning va toujours se perdre dans des hauteurs pharamineuses (mais c’est bien pour ça qu’on l’adore non ?). Un très bon début à confirmer.
La titre track prend place avec un gros riff pour un titre plus heavy et bien bon. Le refrain est bien trouvé, appuyé par des chœurs guerriers pour cette chanson qui poursuit dans le bon sens ce nouveau chapitre. Auraient ils compris leurs erreurs passées ?
« Cyber horizon » commence sur une impressionnante démonstration vocale puis se calme pour le couplet, avant de repartir à l’attaque pour un refrain sympa. Encore un bon titre suivit de « Ride on » bien rentre dedans avec sa grosse intro façon marteau de Thor. Un mid tempo heavy qui fait du bien : mélodique et guerrier comme un bon Manowar. Michael Ehre se gave à la batterie avec sa double pour mon plus grand plaisir. « Endless beliver » et la commence les points négatifs. Un titre plutôt mid tempo mais pas très accrocheur, malheureusement le passage avec les chœurs géorgiens est moins cool. Bon passons !
« Sky is falling » attaque fort, la guitare de Matthias Lange doit fumer aux vues de l’intro puis se ralentie quelque peu pour se cantonner dans un mid speed sympa. Henning lui de son coté est impressionnant de vélocité se donnant toujours à fond.
Entrée pharaonique pour « Destiny ». Un nouveau mid tempo assez puissant bien porté par les talents de Henning. Le refrain bien appuyé par les gros chœurs rend bien, un titre sympatoche. Mais bon il faut avouer que l’intérêt commence à retomber. Est-ce que « Mother earth » (décidément partout) va remonter tout ça ? Ben ouais, bien puissante et quelque peu différente des inspirations speed habituelle ,elle se démarque pas mal du reste. Le refrain chanté sur les gros chœurs guerriers rend l’ensemble bien couillu.
« Out of the silence » reprend le bon vieux speed qui fait du bien, elle te décape les cervicales et les conduits auditifs : ah ça fait plaisir !
Aller on continue avec « Atrocity », un autre bon titre qui décape et qui te donne envie de te casser le cou, la musique à fond tellement que c’est bon : entraînante et puissante sûrement le meilleur titre du CD. Ah elle est enfin là la ballade oubliée lors du précédant opus. Elle est de retour pour la 12eme plage. Intro au piano « Silence of the night » se fait dure et prenante, Henning excelle dans se genre d’exercice en étant touchant et sensible, portant son organe à des degrés ahurissant d’émotion. Une vrai ballade comme Metalium sait les faire. Même le solo de Matthias est superbe. Un véritable bonheur.
« Vision of paradise » c’est un peu ça enchaînant un titre speed après la somptueuse ballade cela nous permet de reprendre nos esprits dépressifs. Un titre qui sur scène va cartonner avec son refrain calibré. Et voici la fin avec « One by one » à l’intro orientale, qui est un mid tempo d’une lourdeur impressionnante. Une manière de conclure avec une puissance encore peu connue. Le refrain est énorme, Henning vous achève une dernière fois par sa maîtrise impériale. Voilà c’est fini reste plus qu’à faire les comptes.
Conclusion : certes meilleur que le ‘As one chapter 4’ (mais pouvaient ils faire pire ?) Ce ‘Demons of insanity chapter 5’ n’arrive toujours pas à la cheville d’un des 3 premiers chapitres : la faute à une durée trop longue et à des morceaux mitigés. Espérons qu’ils soit dans la bonne pente et nous ressortirons des albums dignes de leur rang.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Site du groupe : site officiel de Metalium
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