Chronique
VANDEN PLAS - THE GHOST EXPERIMENT – ILLUMINATION / Frontiers records 2020
Après un premier volet qui m'avait laissé sur ma faim mais qui c'est dévoilé au fil du temps, nos maîtres du prog nous présentent la deuxième partie, qui vient conclure cette histoire en espérant que le groupe remette l'église au milieu du village.
De gros violons inquiétants nous accueillent avant l'arrivée fracassante de la guitare de Stephan Lill pour « When The Word Is Falling Down » qui fait le taf. On retrouve bien sûr la patte du groupe mais dans une ambiance bien sombre et lourde qui lui va à merveille ! Quelques douces notes du piano de Gunter Werno nous ouvrent « Under The Horizon », avant que l'armada métal ne revienne pour envoyer à nouveau du lourd ! Un titre un peu plus lumineux surtout lors de son refrain magnifié par un Andy Kuntz impérial comme à son habitude ! Pour le moment Vanden Plas est à nouveau le plus grand.
« Black Waltz Death » est bel et bien la ballade de l'album. Un moment empli d'émotion qui donne quelques frissons. Une pièce progressive à souhait qui t'envoie vers les cieux ! Place à « The Lonely Psychogon », qui retrouve les gros riffs de Stephan pour du pur et dur Vanden Plas. Rien de nouveau par ici mais le savoir-faire du groupe reste omniprésent !
Le clavier est à nouveau à l'honneur pour l'ouverture de « Fatal Arcadia » qui vite se voit remplacé par le riff dans ta gueule de Mr Lill toujours aussi efficace. Un titre puissant mais qui n'en n'oublie pas la mélodie portée par un Andy Kuntz réel maître de cérémonie, transcendé par cette histoire développée et riche en sensations. On continue sur un « The Ouroboros » qui nous plonge dans une mélancolie latente. Un début d'une grande tristesse qui même avec sa suite plus puissante nous laisse dans cette mélancolie abyssale ! Une fois de plus Andy est d'une intensité et d'une justesse époustouflantes portant cette histoire à bout de bras comme si sa vie en dépendait. Quelle leçon !
« Ghost Engineers », débute doucement le temps de se remettre de la baffe précédente, avec cette ballade intimiste, qui nous brise le cœur. Une fin de concept qui ne laisse pas indifférent.
Conclusion : Vanden Plas conclut de fort belle manière ce deuxième double concept album. Une fin plus sombre mais d'une très grande richesse. Oui le groupe a bien retrouvé sa place au panthéon des dieux du Prog !
De gros violons inquiétants nous accueillent avant l'arrivée fracassante de la guitare de Stephan Lill pour « When The Word Is Falling Down » qui fait le taf. On retrouve bien sûr la patte du groupe mais dans une ambiance bien sombre et lourde qui lui va à merveille ! Quelques douces notes du piano de Gunter Werno nous ouvrent « Under The Horizon », avant que l'armada métal ne revienne pour envoyer à nouveau du lourd ! Un titre un peu plus lumineux surtout lors de son refrain magnifié par un Andy Kuntz impérial comme à son habitude ! Pour le moment Vanden Plas est à nouveau le plus grand.
« Black Waltz Death » est bel et bien la ballade de l'album. Un moment empli d'émotion qui donne quelques frissons. Une pièce progressive à souhait qui t'envoie vers les cieux ! Place à « The Lonely Psychogon », qui retrouve les gros riffs de Stephan pour du pur et dur Vanden Plas. Rien de nouveau par ici mais le savoir-faire du groupe reste omniprésent !
Le clavier est à nouveau à l'honneur pour l'ouverture de « Fatal Arcadia » qui vite se voit remplacé par le riff dans ta gueule de Mr Lill toujours aussi efficace. Un titre puissant mais qui n'en n'oublie pas la mélodie portée par un Andy Kuntz réel maître de cérémonie, transcendé par cette histoire développée et riche en sensations. On continue sur un « The Ouroboros » qui nous plonge dans une mélancolie latente. Un début d'une grande tristesse qui même avec sa suite plus puissante nous laisse dans cette mélancolie abyssale ! Une fois de plus Andy est d'une intensité et d'une justesse époustouflantes portant cette histoire à bout de bras comme si sa vie en dépendait. Quelle leçon !
« Ghost Engineers », débute doucement le temps de se remettre de la baffe précédente, avec cette ballade intimiste, qui nous brise le cœur. Une fin de concept qui ne laisse pas indifférent.
Conclusion : Vanden Plas conclut de fort belle manière ce deuxième double concept album. Une fin plus sombre mais d'une très grande richesse. Oui le groupe a bien retrouvé sa place au panthéon des dieux du Prog !
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
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