Live Report
PAIN - THE VISION BLEAK - DYNAZTY - Jas Rod - 7/11/2016
Après avoir posé nos oreilles sur l’excellent Coming Home de Pain, il était inconcevable de louper un live à portée de voiture. Rendez-vous donné au Jas Rod, une des salles plébiscitées par notre camarade Secret SFred, que je retrouve sur place avec SBM. Nous découvrons comme prévu une arène bien sympa, et un bon accueil.
Dynazty colle la banane !
Pour nous décoller du bar, le groupe Dynazty. Ce quintet est la preuve qu’il doit exister quelque part entre Stockholm et Malmö une école qui donne cette pâte punchy et mélodique au métal suédois.
Malgré un certain côté HardFM dans les coiffures et les teneurs, la prestation est particulièrement moderne et mets bien en avant le jeu à deux guitares. Le chanteur est une voix à retenir dont l’énergie fini par payer en milieu de set. Il sera d’ailleurs épaulé par le bassiste qui mettra une sacrée ambiance avec son solo. Inutile de vous dire que nous irons probablement sur Deezer approfondir le sujet, et nous pencher sur le dernier album Titanic Mass, sorti en avril chez Spinefarm records.
Pain simple et efficace
Nous passerons sous silence les deux autres premières parties avant/après Dynazty afin de ne pas faire de mauvaise publicité. Sans transition, Pain ouvre les hostilités Designed to piss you off, la debut track du dernier album, avec une réaction un peu timorée du public. Il faudra plusieurs titres pour briser la glace, mais qu’à cela ne tienne, le suédois a prévu les meilleures cartouches de la discographie comme l’excellent The great pretender qui rend vraiment bien en live.
D’ailleurs la prestation sur scène est sympa. Peter dans sa blouse d’asile psy est accompagné d’une équipe bien motivée, en particulier le bassiste qui attiré l’attention par son énergie hors norme, au point de cacher la timide incursion des deux guitaristes dans le public. Drôle également, le recours à la marionnette de Joakim Brodén (Sabaton) utilisée dans le refrain de Call me.
Le show demeure bon et prenant malgré un public un peu mou et les éternels reproches que je formule à notre époque : une batterie écrasante et un jeu sur bande qui gâche un peu le côté live. « Tu chipotes sur les détails » m’a fait savoir SBM. Oui, mais quand même ! As-t-on vraiment besoin de bouchon-oreille pour profiter du concert ?
Au bilan, la setlist est bien choisie, ménage le dur et le mou et compensera le jeu sur bande par l’usage d’une guitare sèche qui-va-bien. Il suffisait de demander !
Set list
1.Designed to Piss You Off
2.Suicide Machine
3.The Great Pretender
4.A Wannabe
5.Zombie Slam
6.Monkey Business
7.End of the Line
8.It's Only Them
9.Pain in the Ass
10.I'm Going In
11.Coming Home
12.Black Knight Satellite
13.Call Me
14.Starseed
15.Dirty Woman
16.Same Old Song
Rappel :
17.Shut Your Mouth
Dynazty colle la banane !
Pour nous décoller du bar, le groupe Dynazty. Ce quintet est la preuve qu’il doit exister quelque part entre Stockholm et Malmö une école qui donne cette pâte punchy et mélodique au métal suédois.
Malgré un certain côté HardFM dans les coiffures et les teneurs, la prestation est particulièrement moderne et mets bien en avant le jeu à deux guitares. Le chanteur est une voix à retenir dont l’énergie fini par payer en milieu de set. Il sera d’ailleurs épaulé par le bassiste qui mettra une sacrée ambiance avec son solo. Inutile de vous dire que nous irons probablement sur Deezer approfondir le sujet, et nous pencher sur le dernier album Titanic Mass, sorti en avril chez Spinefarm records.
Pain simple et efficace
Nous passerons sous silence les deux autres premières parties avant/après Dynazty afin de ne pas faire de mauvaise publicité. Sans transition, Pain ouvre les hostilités Designed to piss you off, la debut track du dernier album, avec une réaction un peu timorée du public. Il faudra plusieurs titres pour briser la glace, mais qu’à cela ne tienne, le suédois a prévu les meilleures cartouches de la discographie comme l’excellent The great pretender qui rend vraiment bien en live.
D’ailleurs la prestation sur scène est sympa. Peter dans sa blouse d’asile psy est accompagné d’une équipe bien motivée, en particulier le bassiste qui attiré l’attention par son énergie hors norme, au point de cacher la timide incursion des deux guitaristes dans le public. Drôle également, le recours à la marionnette de Joakim Brodén (Sabaton) utilisée dans le refrain de Call me.
Le show demeure bon et prenant malgré un public un peu mou et les éternels reproches que je formule à notre époque : une batterie écrasante et un jeu sur bande qui gâche un peu le côté live. « Tu chipotes sur les détails » m’a fait savoir SBM. Oui, mais quand même ! As-t-on vraiment besoin de bouchon-oreille pour profiter du concert ?
Au bilan, la setlist est bien choisie, ménage le dur et le mou et compensera le jeu sur bande par l’usage d’une guitare sèche qui-va-bien. Il suffisait de demander !
Set list
1.Designed to Piss You Off
2.Suicide Machine
3.The Great Pretender
4.A Wannabe
5.Zombie Slam
6.Monkey Business
7.End of the Line
8.It's Only Them
9.Pain in the Ass
10.I'm Going In
11.Coming Home
12.Black Knight Satellite
13.Call Me
14.Starseed
15.Dirty Woman
16.Same Old Song
Rappel :
17.Shut Your Mouth
Critique : Weska
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