Live Report
EPICA - 04.11.05 Jas Rod (Les Pennes Mirabeau)
En ce jour de pluie (sic), les Hollandais d’Epica débarquent dans la périphérie marseillaise pour un concert très attendu. Attendu car les concerts sur Marseille et sa banlieue ne sont pas légion, car le dernier album en date (« Consign To Oblivion ») est très bon, car le concert de Montpellier l’année précédente avait été excellent et car de nombreux membres fanclub francophone du groupe (The French Crusade) ont fait le déplacement. Tout pour passer une bonne soirée, à un détail près. Explications.
En titre de mon live report, les connaisseurs ont dû se rendre compte qu’un groupe manque à l’appel. En effet, le groupe sudiste Crushing Blow était de la partie, sur les affiches, dans la salle mais malheureusement pas sur scène. La raison à cela est due au fait qu’un peu plus tôt dans l’après-midi, les membres d’Epica et leur manager, ont trouvé le son de la salle insuffisant pour leur show. Leur premier choix a été de vouloir annuler le concert, mais fort heureusement, une solution de dernier recours a été trouvé : louer une sono supplémentaire.
La sono arrive en fin d’après-midi (18h00) et chamboule tout le programme de la soirée. Deux heures de retard ce n’est pas rien. Les répercussions ont été que Crushing Blow n’a pû tout simplement pas jouer et le public est entré dans la salle vers 21h00 (au lieu de 20h00). A noter également que beaucoup de fans étaient présents en début d’après-midi et que tout le monde s’est vu se faire mettre dehors pour « organiser » l’entrée, le tout sous un déluge et pendant pratiquement une heure ! Votre serviteur aura même vu son interview annulée car prévue initialement à 20h30 (mais je vous promets d’essayer de me rattraper).
Une fois dedans, les Français de The Old Dead Tree démarrent leur show sous les yeux d’un public réchauffé (il fait quand même meilleur dedans !) et des membres de Crushing Blow (sic bis) dont Damien (bassiste de Stereoxyde) venu remplacer à la dernière minute la chanteuse de Crushing Blow ayant quitté le groupe récemment. Tout ça pour ça. Bref…
Les Parisiens sont bien en place et Manuel Munoz attire toute l’attention par son chant alterné clair et death. Le set accompagné de bonnes lights se révèle efficace et ces dernières donnent une atmosphère fort adéquate à la musique du groupe. La batterie un peu trop en avant aurait peut-être gagnée à être plus atténuée pour conférer plus de noirceur et de mélancolie aux compos. Le public ne réagira qu’un peu tardivement, mais cela n’enlève en rien la bonne prestation du combo parisien.
Set-list The Old Dead Tree :
1. Even if (The Perpetual Motion)
2. It Can't Be! (The Nameless Disease)
3. Somewhere Else (The Nameless Disease)
4. Unrelenting (The Perpetual Motion)
5. Everyday Life (The Perpetual Motion)
6. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8... (The Perpetual Motion)
7. It's The Same For Everyone (The Nameless Disease)
8. Out Of Breath (The Perpetual Motion)
9. How Could You? (The Nameless Disease)
10. My Friends (The Perpetual Motion)
11. We Cry As One (The Nameless Disease)
12. What Else Could We've Said ? (The Perpetual Motion)
Le temps du changement de matos et de quelques balances incompréhensibles, vu que le groupe a sembe-t-il passé l’après-midi à les faire, et le décor d'Epica commence à prendre forme avec deux grandes pancartes Mayas (en référence au dernier album) de chaque côté du synthé et bien évidemment les ventilateurs de Mark et de Simone, parce qu’ils le valent bien !
Dès l’intro, c’est déjà la folie dans la salle, assurément le groupe joue devant un public déjà comblé et tout acquis à sa cause. Tout le monde n’a évidemment d’yeux que pour Simone et Mark, chaqu’un d’eux a ses groupies ! Mais le groupe, à l’image de Coen, est en grande forme. Ad, quant à lui, arpentera la scène de gauche à droite beaucoup plus volontiers qu’à Montpellier par exemple, idem pour Yves qui, j’espère un jour, nous gratifiera d’un petit sourire et Jeroen qui assure de belle manière derrière ses fûts et qui ne se gêne pas pour motiver le public. Le groupe, c’est certain, a énormément évolué scéniquement parlant, grâce entre autres aux nombreux festivals de cet été. Toutes les chansons ont été exécutées à merveille musicalement et vocalement par une Simone toujours aussi ravissante et craquante et un Mark tout bonnement excellent professionnellement et humainement. Un pur régal pour les oreilles et les yeux.
Egalement des petits clins d’œil amusants, tels que l’annonce de la chanson The last crusade qui devient The last « french » crusade (en référence au fanclub francophone présent ce soir) ou Coen qui fait chanter la Marseillaise au public, ce dernier croyant que Marseille était la capitale de la France par rapport au titre de l’hymne national, sympa !
L’after-show permettra remerciements, autographes, photos avec le groupe (excepté Jeroen) réclamés et accueillis par un public émerveillé par tant de générosité. Espérons d’ailleurs que le groupe ne prendra pas trop la grosse tête et que les prémisses entraperçus chez Simone ne seront que passagers.
Set-list Epica :
1. Hunab K’u (Consign To Oblivion)
2. Mother of light (Consign To Oblivion)
3. The last crusade (Consign To Oblivion)
4. Sensorium (The Phantom Agony)
5. Run for a fall (The Phantom Agony)
6. Illusive consensus (The Phantom Agony)
7. Cry for the moon (The Phantom Agony)
8. Linger (New)
9. Blank infinity (Consign To Oblivion)
10. Seif al din (The Phantom Agony)
11. Façade of reality (The Phantom Agony)
12. The phantom agony (The Phantom Agony)
13. Cry for the moon (The Phantom Agony)
14. Quietus (Consign To Oblivion)
15. Consign to Oblivion (Consign To Oblivion)
En titre de mon live report, les connaisseurs ont dû se rendre compte qu’un groupe manque à l’appel. En effet, le groupe sudiste Crushing Blow était de la partie, sur les affiches, dans la salle mais malheureusement pas sur scène. La raison à cela est due au fait qu’un peu plus tôt dans l’après-midi, les membres d’Epica et leur manager, ont trouvé le son de la salle insuffisant pour leur show. Leur premier choix a été de vouloir annuler le concert, mais fort heureusement, une solution de dernier recours a été trouvé : louer une sono supplémentaire.
La sono arrive en fin d’après-midi (18h00) et chamboule tout le programme de la soirée. Deux heures de retard ce n’est pas rien. Les répercussions ont été que Crushing Blow n’a pû tout simplement pas jouer et le public est entré dans la salle vers 21h00 (au lieu de 20h00). A noter également que beaucoup de fans étaient présents en début d’après-midi et que tout le monde s’est vu se faire mettre dehors pour « organiser » l’entrée, le tout sous un déluge et pendant pratiquement une heure ! Votre serviteur aura même vu son interview annulée car prévue initialement à 20h30 (mais je vous promets d’essayer de me rattraper).
Une fois dedans, les Français de The Old Dead Tree démarrent leur show sous les yeux d’un public réchauffé (il fait quand même meilleur dedans !) et des membres de Crushing Blow (sic bis) dont Damien (bassiste de Stereoxyde) venu remplacer à la dernière minute la chanteuse de Crushing Blow ayant quitté le groupe récemment. Tout ça pour ça. Bref…
Les Parisiens sont bien en place et Manuel Munoz attire toute l’attention par son chant alterné clair et death. Le set accompagné de bonnes lights se révèle efficace et ces dernières donnent une atmosphère fort adéquate à la musique du groupe. La batterie un peu trop en avant aurait peut-être gagnée à être plus atténuée pour conférer plus de noirceur et de mélancolie aux compos. Le public ne réagira qu’un peu tardivement, mais cela n’enlève en rien la bonne prestation du combo parisien.
Set-list The Old Dead Tree :
1. Even if (The Perpetual Motion)
2. It Can't Be! (The Nameless Disease)
3. Somewhere Else (The Nameless Disease)
4. Unrelenting (The Perpetual Motion)
5. Everyday Life (The Perpetual Motion)
6. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8... (The Perpetual Motion)
7. It's The Same For Everyone (The Nameless Disease)
8. Out Of Breath (The Perpetual Motion)
9. How Could You? (The Nameless Disease)
10. My Friends (The Perpetual Motion)
11. We Cry As One (The Nameless Disease)
12. What Else Could We've Said ? (The Perpetual Motion)
Le temps du changement de matos et de quelques balances incompréhensibles, vu que le groupe a sembe-t-il passé l’après-midi à les faire, et le décor d'Epica commence à prendre forme avec deux grandes pancartes Mayas (en référence au dernier album) de chaque côté du synthé et bien évidemment les ventilateurs de Mark et de Simone, parce qu’ils le valent bien !
Dès l’intro, c’est déjà la folie dans la salle, assurément le groupe joue devant un public déjà comblé et tout acquis à sa cause. Tout le monde n’a évidemment d’yeux que pour Simone et Mark, chaqu’un d’eux a ses groupies ! Mais le groupe, à l’image de Coen, est en grande forme. Ad, quant à lui, arpentera la scène de gauche à droite beaucoup plus volontiers qu’à Montpellier par exemple, idem pour Yves qui, j’espère un jour, nous gratifiera d’un petit sourire et Jeroen qui assure de belle manière derrière ses fûts et qui ne se gêne pas pour motiver le public. Le groupe, c’est certain, a énormément évolué scéniquement parlant, grâce entre autres aux nombreux festivals de cet été. Toutes les chansons ont été exécutées à merveille musicalement et vocalement par une Simone toujours aussi ravissante et craquante et un Mark tout bonnement excellent professionnellement et humainement. Un pur régal pour les oreilles et les yeux.
Egalement des petits clins d’œil amusants, tels que l’annonce de la chanson The last crusade qui devient The last « french » crusade (en référence au fanclub francophone présent ce soir) ou Coen qui fait chanter la Marseillaise au public, ce dernier croyant que Marseille était la capitale de la France par rapport au titre de l’hymne national, sympa !
L’after-show permettra remerciements, autographes, photos avec le groupe (excepté Jeroen) réclamés et accueillis par un public émerveillé par tant de générosité. Espérons d’ailleurs que le groupe ne prendra pas trop la grosse tête et que les prémisses entraperçus chez Simone ne seront que passagers.
Set-list Epica :
1. Hunab K’u (Consign To Oblivion)
2. Mother of light (Consign To Oblivion)
3. The last crusade (Consign To Oblivion)
4. Sensorium (The Phantom Agony)
5. Run for a fall (The Phantom Agony)
6. Illusive consensus (The Phantom Agony)
7. Cry for the moon (The Phantom Agony)
8. Linger (New)
9. Blank infinity (Consign To Oblivion)
10. Seif al din (The Phantom Agony)
11. Façade of reality (The Phantom Agony)
12. The phantom agony (The Phantom Agony)
13. Cry for the moon (The Phantom Agony)
14. Quietus (Consign To Oblivion)
15. Consign to Oblivion (Consign To Oblivion)
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