Chronique

BLACK STONE CHERRY - SCREAMIN\' AT THE SKY / Mascot records 2023

Voici le 8ème opus de nos hommes du Kentucky qui ont vu leur bassiste d’origine John Lawton devoir quitter le groupe. Remplacé par Steve Jewwell Jr, est-ce que cet événement va changer quelque chose dans la machine ultra huilée BSC !? Réponse dessous.

Les grosses guitares bien grasses ouvrent un “Screamin’ at the sky” qui rassure d’emblée. BSC n’a rien changé à sa formule magique et semble une fois encore en verve. Le son est ultra costaud rien que la batterie est époustouflante de force naturelle. Pas le temps de s’en remettre que “Nervous” débarque. Un single en puissance qui fait du bien.
Avec “When the pains comes” le groupe nous sort sa recette miracle, gros riff, bon groove et refrain mélodique, toujours aussi imparable. “Out of pocket” prend la suite avec réussite. Un titre qui reste dans la tête et donne le sourire !!
Show me what it feels like” se la joue presque Funky et apporte là aussi son lot de bonheur ! Un titre qui coule tout seul ! Puis la plus mélodique “R.O.A.R” vient calmer le jeu tout en délivrant une belle pièce musicale.
Le Rock revient avec “Smile, world” qui démontre que le groupe a encore plein de bonnes choses à nous dire. Quel bonheur ! Et “The mess you made” ne va pas vous faire changer d’avis. Ça envoie bien comme il faut !
Le Mid tempo “Who are you today” laisse un peu plus de place à la basse, mais les guitares gardent le contrôle de l’espace sonore. Vous voulez du gros riff ‘In your face’ et bien “Not afraid” est là pour ça !! Ça dépote sévère mais on n’oublie pas les passages plus doux pour faire passer la pilule.
Un peu de calme avec la très mélodique “Here's to the hopeless” qui apaise l’auditeur sans forcément le mettre dans une ballade classique. Un bon moment que voici. On finit avec “You can have it all” qui est simple mais sans grand plus. Elle fait le job et donne quand même envie de réécouter cet opus !

Conclusion : 8ème opus et 8ème réussite, inspiré et monstrueusement produit, BSC frappe un grand coup et démontre que la machine est toujours debout et que rien ne semble pouvoir les ralentir.
 
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
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