Chronique
ORDEN OGAN - THE ORDER OF FEAR / Atomic Fire 2024
Les calendriers arrivent parfois à bien se lier. De fait, ORDEN OGAN nous offre un nouvel album et profite ainsi de la tournée estivale pour le promouvoir. Le set offert en terre clissonnaise était plutôt sympathique et me donne envie de me pencher sur la galette. Pour ceux qui ne connaissent pas, ORDEN OGAN a son son, sa patte. Et ce « The Order Of Fear » n’échappe pas à la règle.
En commençant avec « Kings Of The Underworld » le combo donne un son puissant, très mélodique et appuyé avec un refrain qui arrive comme une belle envolée. Le solo est tout aussi magnifique et pose dès le premier titre les points sur les « i ». Le groupe est en forme ! Le titre éponyme vient enfoncer les clous (oui là vu le niveau il n’y en a pas qu’un) avec un titre très bien ficelé. « Moon Fire » est pas mal mais un poil trop poussif ou simpliste. Alors attention il y a de bonnes choses mais le refrain terni un peu l’ensemble qui était très bon.
On remonte vite le niveau avec « Conquest » et sa magnifique intro entre son clair et riff épique. Encore une fois, on sent que c’est du Orden Ogan mais ce n’est pas un mal. J’ai l’impression d’entendre un monstre du même niveau que leur début : « The Things We Believe In ». Du très très bon que ce titre !! Et on ne change pas son fusil d’épaule pour « Blind Man » qui speed bien avec des riffs racés et plaisants. Ça s’écoute tout seul et franchement ça passe crème.
« Princess of Sorrow » est sympathique mais il manque le petit truc pour que ça soit parfait. Une ligne de chant plus recherchée peut-être. Tout comme « Dread Lord » qui, bien que plus mid-tempo, ne compense pas la puissance du titre. C’est sympa mais rien de fou (sauf peut-être le solo qui dépote).
On arrive à la ballade, assez jolie, « Worst Enemy » qui doit quand même une bonne partie de ses points à son solo. Le reste est assez classique mais très bien fait. Ça s’écoute avec plaisir et finalement n’est-ce pas ça qui compte ?
On revient à quelque chose de plus rapide mais quelque part moins attirant, trop convenu… « Anthem Of The Darkside » commence à montrer un signe de fatigue et de répétition sur l’album. Mais rassurez vous, rien de catastrophique, très loin de là. C’est bon mais il manque un truc et je sais que le groupe l’a.
Après un interlude narré, l’album se termine avec « The Long Darkness » qui résume bien l’album. Il met un peu de temps mais il accélère bien comme on aime ! Il prend le temps et ça prouve (après un petit passage à vide) que le groupe sait écrire.
Pour être tout à fait honnête, l’album n’est pas ce qu’on pourrait appeler transcendant mais il apporte ce dont on a besoin : du bon son, des moments épiques, de la puissance et de la mélodie. Le groupe a réussi aussi, comme je le disait, à créer un son qui lui est propre, et ça, ça mérite un bravo.
En commençant avec « Kings Of The Underworld » le combo donne un son puissant, très mélodique et appuyé avec un refrain qui arrive comme une belle envolée. Le solo est tout aussi magnifique et pose dès le premier titre les points sur les « i ». Le groupe est en forme ! Le titre éponyme vient enfoncer les clous (oui là vu le niveau il n’y en a pas qu’un) avec un titre très bien ficelé. « Moon Fire » est pas mal mais un poil trop poussif ou simpliste. Alors attention il y a de bonnes choses mais le refrain terni un peu l’ensemble qui était très bon.
On remonte vite le niveau avec « Conquest » et sa magnifique intro entre son clair et riff épique. Encore une fois, on sent que c’est du Orden Ogan mais ce n’est pas un mal. J’ai l’impression d’entendre un monstre du même niveau que leur début : « The Things We Believe In ». Du très très bon que ce titre !! Et on ne change pas son fusil d’épaule pour « Blind Man » qui speed bien avec des riffs racés et plaisants. Ça s’écoute tout seul et franchement ça passe crème.
« Princess of Sorrow » est sympathique mais il manque le petit truc pour que ça soit parfait. Une ligne de chant plus recherchée peut-être. Tout comme « Dread Lord » qui, bien que plus mid-tempo, ne compense pas la puissance du titre. C’est sympa mais rien de fou (sauf peut-être le solo qui dépote).
On arrive à la ballade, assez jolie, « Worst Enemy » qui doit quand même une bonne partie de ses points à son solo. Le reste est assez classique mais très bien fait. Ça s’écoute avec plaisir et finalement n’est-ce pas ça qui compte ?
On revient à quelque chose de plus rapide mais quelque part moins attirant, trop convenu… « Anthem Of The Darkside » commence à montrer un signe de fatigue et de répétition sur l’album. Mais rassurez vous, rien de catastrophique, très loin de là. C’est bon mais il manque un truc et je sais que le groupe l’a.
Après un interlude narré, l’album se termine avec « The Long Darkness » qui résume bien l’album. Il met un peu de temps mais il accélère bien comme on aime ! Il prend le temps et ça prouve (après un petit passage à vide) que le groupe sait écrire.
Pour être tout à fait honnête, l’album n’est pas ce qu’on pourrait appeler transcendant mais il apporte ce dont on a besoin : du bon son, des moments épiques, de la puissance et de la mélodie. Le groupe a réussi aussi, comme je le disait, à créer un son qui lui est propre, et ça, ça mérite un bravo.
Critique : SBM
Note : 8/10
Site du groupe : Site Officiel
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