Chronique
GOTTHARD - DOMINO EFFECT / Nuclear Blast 2007
Les suisses de Gotthard reviennent gonflés à bloc deux ans après un très bon ‘Lipservice’ qui avait remit le groupe sur les bons rails. Entre temps on oublie pas une formidable tournée ponctuée de grâce avec un somptueux live ‘Made in swizerland’ et maintenant Leo Leoni et sa bande nous ont concocté un petit effet de domino renversant.
On entame l’album tout heureux avec « Master of illusion » qui ouvre le bal de fort bonne manière. Un bon riff bien hard une ambiance de feu et un Steve Lee impérial qui embaume le tout de sa voix chaude. Le refrain débarque et là ouf, quelle gifle, quelle mélodie, quel pied !!! On notera que le groupe est toujours aussi incisif mais semble plus ‘sérieux’ plus ‘adulte’ dans sa musique. « Gone to far » confirme la donne avec un hard aux sonorités orientales exquises. Leo nous sort le grand jeu, armé de son formidable chanteur, pour un hard classieux qui fait effet de suite.
La title track prend le pas et ne lâche rien de l’évolution que le groupe a apporté. En effet « Domino effect » semble bien plus mature dans sa structure et sonne d’enfer. Un titre taillé pour la scène à reprendre en cœur qui fera le bonheur des fans de bon hard rock. Un mid tempo excellent. Première ballade avec « Falling » qui débute sur un violon accompagné d’un piano délicat et de cette voix éraillée magique d’un Steve Lee, toujours aussi suprême. La batterie joue de façon militaire et rajoute un côté prenant à cette bien belle chanson, qui évolue en une power ballade délicieuse.
Pour continuer rien de tel qu’un « The call » au joli début calme bluesy, qui garde son charme et on se laisse prendre au grè des notes douces et chargées d’émotions. Une deuxième ballade bien sympa, qui prouve le talent de songwriting des suisses. Pour les amateurs de hard remuant « The Oscar goes to you » fera son effet avec un refrain pareil c’est inévitable ! Un super bon titre (encore un !) qui vous fait remuez du cul et chanter : ah l’extase.
« The cruiser (Judgement day) » continue dans le bon sens, un bon hard entraînant, mélodique et enjoué qui te rentre dans la tête sans effort. « Heal me » malgré le fait d’être un mid tempo, envoie la sauce de fort belle manière et vous donnera des envies, comment dire… d’érections oui c’est un peu ça !
Un petit « Letter to a friend » qui me rappelle Bruce Dickinson en solo, un titre triste qui me prend aux tripes. Une très jolie ballade bien rock et vibrante avec un solo magnifique. En un mot divin ! « Tomorrow’s just begun » est une autre ballade plus acoustique dans l’âme qui passe bien aussi et varie les plaisirs avec toujours autant de brio.
« Come alive » retrouve les sonorités de la vox box pour un super titre qui explose littéralement ! Encore une fois pas de faute de goût du très grand art. Vivement la tournée pour aller se délecter de ce sublime hard rock.
Et comme si cela ne suffisait pas Gotthard en rajoute avec « Bad to the bone » qui pète bien. Leo retrouve sa vox box pour un solo d’enfer. « Now » remet le couvert qui décidément n’a pas le temps de s’enlever et encore une fois nous sert un hard des plus rock qui franchement est extraordinairement explosif !!!!
Pour terminer cette véritable tornade de hits rien de tel qu’une petite ballade douce, avec « Where’s love when it’s go » qui clôture de la meilleure des manières cet album de toute beauté.
Conclusion : vous l’aurez compris Gotthard vient de poser un somptueux album, un bijou de hard rock, frais, mature, entraînant, mais aussi subtil et doux, qui comblera toutes les personnes qui poseront leurs oreilles dessus. Si cet album n’est pas le meilleur il est en tout cas un excellent album du combos suisse qui prouve qu’après quelques errements commerciaux qu'ils sont bien de retour de la meilleure des manières.
A acheter d’urgence, et à écouter en boucle avec le même plaisir.
On entame l’album tout heureux avec « Master of illusion » qui ouvre le bal de fort bonne manière. Un bon riff bien hard une ambiance de feu et un Steve Lee impérial qui embaume le tout de sa voix chaude. Le refrain débarque et là ouf, quelle gifle, quelle mélodie, quel pied !!! On notera que le groupe est toujours aussi incisif mais semble plus ‘sérieux’ plus ‘adulte’ dans sa musique. « Gone to far » confirme la donne avec un hard aux sonorités orientales exquises. Leo nous sort le grand jeu, armé de son formidable chanteur, pour un hard classieux qui fait effet de suite.
La title track prend le pas et ne lâche rien de l’évolution que le groupe a apporté. En effet « Domino effect » semble bien plus mature dans sa structure et sonne d’enfer. Un titre taillé pour la scène à reprendre en cœur qui fera le bonheur des fans de bon hard rock. Un mid tempo excellent. Première ballade avec « Falling » qui débute sur un violon accompagné d’un piano délicat et de cette voix éraillée magique d’un Steve Lee, toujours aussi suprême. La batterie joue de façon militaire et rajoute un côté prenant à cette bien belle chanson, qui évolue en une power ballade délicieuse.
Pour continuer rien de tel qu’un « The call » au joli début calme bluesy, qui garde son charme et on se laisse prendre au grè des notes douces et chargées d’émotions. Une deuxième ballade bien sympa, qui prouve le talent de songwriting des suisses. Pour les amateurs de hard remuant « The Oscar goes to you » fera son effet avec un refrain pareil c’est inévitable ! Un super bon titre (encore un !) qui vous fait remuez du cul et chanter : ah l’extase.
« The cruiser (Judgement day) » continue dans le bon sens, un bon hard entraînant, mélodique et enjoué qui te rentre dans la tête sans effort. « Heal me » malgré le fait d’être un mid tempo, envoie la sauce de fort belle manière et vous donnera des envies, comment dire… d’érections oui c’est un peu ça !
Un petit « Letter to a friend » qui me rappelle Bruce Dickinson en solo, un titre triste qui me prend aux tripes. Une très jolie ballade bien rock et vibrante avec un solo magnifique. En un mot divin ! « Tomorrow’s just begun » est une autre ballade plus acoustique dans l’âme qui passe bien aussi et varie les plaisirs avec toujours autant de brio.
« Come alive » retrouve les sonorités de la vox box pour un super titre qui explose littéralement ! Encore une fois pas de faute de goût du très grand art. Vivement la tournée pour aller se délecter de ce sublime hard rock.
Et comme si cela ne suffisait pas Gotthard en rajoute avec « Bad to the bone » qui pète bien. Leo retrouve sa vox box pour un solo d’enfer. « Now » remet le couvert qui décidément n’a pas le temps de s’enlever et encore une fois nous sert un hard des plus rock qui franchement est extraordinairement explosif !!!!
Pour terminer cette véritable tornade de hits rien de tel qu’une petite ballade douce, avec « Where’s love when it’s go » qui clôture de la meilleure des manières cet album de toute beauté.
Conclusion : vous l’aurez compris Gotthard vient de poser un somptueux album, un bijou de hard rock, frais, mature, entraînant, mais aussi subtil et doux, qui comblera toutes les personnes qui poseront leurs oreilles dessus. Si cet album n’est pas le meilleur il est en tout cas un excellent album du combos suisse qui prouve qu’après quelques errements commerciaux qu'ils sont bien de retour de la meilleure des manières.
A acheter d’urgence, et à écouter en boucle avec le même plaisir.
Critique : Guillaume
Note : 9/10
Site du groupe : site officiel de Gotthard
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